En 1998, je rencontre la culture Hiphop. A cette époque, je pratique le kung-fu et le basket-ball. Le rap, le graffiti et la danse deviennent rapidement mes pratiques quotidiennes.
Je rencontre mes partenaires de mouvements à la MJC en 1999.
Je danse dehors, dans des salles, dans des battles puis plus tard, sur scène.
J’aime l’idée de pouvoir faire une danse de la pluie, une danse de la bonne musique, une danse de l’amour, une danse de la haine, une danse de la bonne soupe egyptienne...
Pour honorer toutes ces danses et toutes celles que je n’ai pas encore explorées, je collabore avec des centaines d’humains, je m’intéresse à nos traditions terriennes, humaines, spirituelles.
J’en ferai des bons et des mauvais spectacles aussi.
Je remercie ici tout les créateurs, particulièrement Imad Nefti et Olivier Lefrancois qui m’ont aidés à comprendre, voir, entendre et vivre l’art comme une expérience de communication et comme un remède. La danse me garde éveillé.