Un homme seul, sa chaîne stéréo et quelques vieux disques vinyles, le free-jazz d'Archie Sheep et Pharoah Sanders, revisite le blues des origines. Est-on dans une chambre d'ado, dans un studio de danse, au purgatoire...? Un peu tout ça sans doute. Il y a une corde aussi, pour se pendre ? Non plutôt pour grimper, serpenter, s’élever, danser... Une identité qui s'invente au gré de ses métamorphoses. On entend mieux la musique en regardant ce corps qui danse sur le fil.
Stéphane Gombert, Collectif 12
Chorégraphie, mise en scène et interprétation Rafael Smadja Œil complice Marianne Griffon, Loredane Straschnov, Jann Gallois Musique live Archie Shepp, Pharoah Sanders, Rocé. Création lumière Stéphane Avenas
Soutiens en co-production et accueil studio reçus : L’OCA (Bonneville), Théâtre Micro Megas (Ferney-Voltaire), Centre Chorégraphique Pôle Pik (Bron), Compagnie Dyptik (Saint-Etienne), Studios de l'ADC (Genève).
Soutiens reçus par la cie Tenseï : DRAC Auvergne-Rhône Alpes, Conseil départemental de l'Ain.